Visage
que pétrit mon esprit
Rivage de douceur au long des heures
Rivière de liberté aux
airs de nuit
Soleil de vérité aux
accents-bonheur
Tu es la seule chaîne qu'admet mon cur
Tu es la seule chair que rêve mon âme
Sans toi la vie se mêle de lents malheurs
Ton retour et c'est le jour qui se relève en armes
Et des cendres renaissent caresses, mers de tendresse
Sous la lumière les ondes se mettent à chanter
Je vibre au son de ma maîtresse,
môme aînesse
Et le temps s'arrête sur nos
encore-enlacés